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    Régime alimentaire et compléments alimentaires pour les chèvres

    Be sure to offer goat-safe plants for residents to browse on! Photo: Jo-Anne McArthur / We Animals

    Read This Resource In English Here!

    Traduit par un.e volontaire
    Cette ressource a été traduite par une intelligence artificielle et adaptée par Isabelle M. pour le compte du Réseau national des refuges animalistes, dans le cadre de notre programme de traduction bénévole. Voulez-vous nous aider à traduire nos ressources ? Contactez-nous ici!

    Si vous lisez cet article, c’est que vous souhaitez probablement fournir les meilleurs soins possibles à des chèvres qui vous sont chères! S’occuper de manière responsable de chèvres dans un refuge passe en premier lieu par la nourriture qui leur est fournie. Si chaque chèvre doit être considérée comme un individu, avec ses préférences et ses besoins propres, il existe quelques principes généraux à prendre en compte en ce qui concerne leur physiologie et besoins nutritionnels.

    Les chevreaux ont des besoins alimentaires spécifiques
    Pour plus d’informations sur les besoins alimentaires des chevreaux, consultez notre article ici.

    yellow goat graphic

    Comme les moutons et les vaches, les chèvres sont des ruminants. Les nutriments ne sont pas directement absorbés lors de l’ingestion de nourriture, ils se retrouvent d’abord dans un système digestif complexe, composé d’un estomac à quatre compartiments où ils fermentent, ce qui permet leur absorption dans un deuxième temps. Ce processus fait que tout nouvel aliment doit être introduit progressivement, quand un changement de régime alimentaire s’avère nécessaire. Tout changement brusque de régime peut entraîner des ballonnements et d’autres problèmes digestifs.

    Régime alimentaire quotidien des chèvres

    Il pourrait être tentant de considérer que les moutons et les chèvres ont les mêmes besoins alimentaires, or leurs besoins et leurs préférences en matière d’alimentation diffèrent sur plusieurs points. Tout d’abord, alors que les moutons broutent de l’herbe, les chèvres sont des animaux fourrageurs: elles mangent de l’herbe, mais elles consomment également d’autres aliments tels que des arbustes et des végétaux ligneux, c’est-à-dire de la “broussaille”. Le régime alimentaire d’une chèvre en bonne santé doit se composer principalement de végétaux non toxiques pour elle, qu’ils soient frais (sous forme de pâturages et broussaille) ou secs (sous forme de foin).

    La quantité de nourriture dont une chèvre a besoin est souvent estimée sur la base de la matière sèche (la “matière sèche” désigne ce que l’on obtient lorsqu’on retire l’eau de la nourriture). La quantité de matière sèche qu’une chèvre doit consommer pour satisfaire ses besoins nutritionnels dépend de nombreux facteurs, notamment de la température ambiante, du type et de la qualité de la nourriture et de l’individu lui-même (son poids, son stade de développement, son état de santé général et le niveau d’activité sont autant de facteurs qui entrent en ligne de compte). Ainsi selon les sources auxquelles on se réfère, les estimations concernant l’apport en matière sèche varient considérablement, allant de moins de 2 % jusqu’à 6 % du poids corporel. Selon Susan Schoenian, spécialiste des ovins et des caprins à l’Université du Maryland, pour satisfaire leurs besoins nutritionnels, les chèvres doivent généralement consommer de 2 à 4 % de leur poids corporel en matière sèche. Une chèvre à qui on laisse la possibilité de fourrager et/ou de manger du foin consommera de la nourriture à hauteur de ses besoins (bien qu’il puisse être nécessaire de supplémenter certains individus ou d’en mettre d’autres au régime, auquel cas votre vétérinaire peut vous faire des recommandations spécifiques). Afin de garantir un bon fonctionnement du rumen, les chèvres ont généralement besoin d’au moins 7 % de protéines brutes et d’au moins 50 % de fibres alimentaires.

    Pâturages et broussailles

    Nous parlons souvent des pâturages comme espace extérieur et source de nourriture pour les chèvres, mais celles-ci, qui aiment fourrager, s’épanouissent dans des espaces extérieurs qui leur offrent à la fois la possibilité de manger de l’herbe et des broussailles. Pensez-y! Si la possibilité leur est donnée, les chèvres se nourrissent de broussaille à plus de 60% Selon l’ouvrage Sheep And Goat Medicine (2e édition), la plupart des chèvres préfèrent les broussailles à  l’herbe et préfèrent  l’herbe aux légumineuses.  Votre pépiniériste local devrait pouvoir vous recommander des arbustes à planter ainsi qu’un mélange de graines pour pâturage (contenant des graminées et des plantes herbacées) autochtones à votre région. Si vous avez des boucs castrés, n’oubliez pas de vous renseigner sur les plantes qui leur conviennent, car certaines plantes peuvent augmenter le risque de calculs urinaires

    Avant de donner à vos chèvres l’accès aux espaces extérieurs, assurez-vous qu’ils ne contiennent aucune plante toxique! Les pâturages doivent être divisés en parcelles et leur utilisation doit faire l’objet d’une rotation tout au long de l’année, afin de donner au feuillage le temps de se régénérer et de réduire ainsi les risques d’ingestion de parasites, en particulier le ver mirliton (Haemonchus contortus). Lorsque vous envisagez de permuter vos parcelles pour aider la végétation à se régénérer, n’oubliez pas les broussailles. Les chèvres peuvent facilement tuer les plantes en mangeant tout le feuillage. Vous devrez donc procéder à une rotation en conséquence ; vous devez généralement laisser au moins 20% du feuillage si vous voulez avoir une chance que la plante survive, bien que certaines plantes puissent nécessiter un pourcentage plus élevé de feuillage restant. Il peut être utile de planter des arbustes, des buissons et des arbres de l’autre côté des clôtures délimitant les espaces extérieurs, afin qu’une partie seulement du feuillage soit à la portée des pensionnaires, mais que l’autre partie soit hors d’atteinte et reste protégée. Une autre alternative consiste à planter des arbres ou des arbustes de grande taille à l’intérieur de l’espace de vie et à les protéger par un grillage à toute épreuve afin d’empêcher les chèvres d’en arracher l’écorce ou de détruire les plants d’une autre manière. Cette solution est particulièrement utile si les broussailles sont rares ou si une rotation fréquente des parcelles n’est pas possible. 

    La réponse immunitaire à Haemonchus contortus chez les chèvres – comparé aux moutons

    En général les chèvres ont une réponse immunitaire moins prononcée que les moutons face à Haemonchus contortus. En tant que fourrageurs par nature, une grande majorité de leur régime alimentaire est constituée de végétation qui pousse hors de portée des endroits où transitent généralement les parasites. Les moutons, quant à eux, se nourrissent principalement d’herbe à proximité du sol, ce qui les expose à un plus grand nombre de parasites. Cette différence essentielle peut expliquer pourquoi les chèvres n’ont pas développé le même type de réponse immunitaire que les moutons. Cependant, cette réponse immunitaire plus faible les rend plus vulnérables dans les environnements où la majeure partie de leur nourriture provient de l’herbe de pâturage. Vous pouvez envisager d’ensemencer vos parcelles avec des plantes riches en tanins, telles que le plantain lancéolé, le sainfoin et le lotier corniculé; en effet les recherches suggèrent qu’elles peuvent être bénéfiques dans la lutte contre les infestations par les nématodes. Nous vous recommandons de voir avec votre vétérinaire ou un nutritionniste pour savoir quelles espèces planter  et dans quelles proportions, afin de vous assurer que tous les besoins nutritionnels de vos animaux soient satisfaits.

    Le foin

    Bien qu’un régime composé uniquement d’herbe ne soit pas naturel pour les chèvres, lorsque la végétation fraîche n’est pas disponible, vos pensionnaires devront être nourri.es avec du foin, comme la fléole des prés ou le dactyle. Le choix de la variété dépend en grande partie de la région où vous vous trouvez et de ce qui est disponible. Le foin peut se présenter en plusieurs coupes, la première et la deuxième étant les plus fréquemment utilisées. La coupe indique simplement le moment où le foin a été récolté dans la saison – la première coupe a été récoltée en premier, la deuxième coupe (le regain) est récoltée en deuxième, et ainsi de suite. Dans certaines régions, la première coupe peut être la seule disponible – tout dépend de l’endroit où vous êtes, de la saison des moissons et de votre fournisseur. Selon le type de foin que vous utilisez, il peut y avoir des différences physiques et nutritionnelles entre les différentes coupes. Par exemple, si l’on compare le foin de fléole des prés de première et de deuxième coupe, la première coupe est généralement plus grossière que la deuxième, qui est souvent plus riche, plus souple mais aussi plus chère (bien que dans certains cas, la première et la deuxième coupe puissent se ressembler beaucoup).

    Il est préférable de distribuer le foin dans une mangeoire afin de le garder propre et sec et de réduire le gaspillage. Méfiez-vous des mangeoires à foin conçues pour les chevaux, car certains modèles peuvent présenter un risque que les chèvres se blessent avec, en particulier les modèles muraux dotés de barres verticales effilées qui présentent des espaces plus larges vers le haut et qui se rétrécissent vers le bas. Une chèvre peut passer la tête entière dans l’espacement le plus large, mais se retrouver piégée avec ses cornes lorsqu’elle approche la tête du sol. Nous avons entendu des histoires terribles au sujet de chèvres qui sont mortes après s’être coincées dans ce type de mangeoires – soit par strangulation, soit en se brisant le cou en essayant de se libérer – c’est pourquoi nous recommandons d’utiliser un type de mangeoire à foin adaptés pour les moutons et les chèvres.

    Attention aux ficelles! Si vous donnez aux chèvres du foin en balles liées avec de la ficelle, bien penser à récupérer la totalité de la ficelle coupée et à ne rien laisser dans le foin. Les chèvres ne doivent en aucun cas ingérer de la ficelle! Pour en savoir plus à ce sujet, cliquez ici. 

    Aliments à éviter ou limiter

    Les pâturages de luzerne sont généralement déconseillés pour nourrir les chèvres, car leur teneur élevée en calcium et en protéines peut entraîner des problèmes de santé tels qu’obésité et  calculs urinaires. On évitera en particulier de donner de la luzerne aux boucs castrés, chez qui les blocages urinaires sont particulièrement dangereux. Celle-ci ne devrait être donnée qu’aux chevreaux ou aux femelles en gestation, en convalescence ou qui ont du mal à maintenir un poids de forme.

    Les céréales (et les aliments formulés pour chèvres que l’on trouve dans les magasins d’alimentation) doivent être données en quantité très limitée (voire pas du tout). Les céréales peuvent facilement provoquer une obésité et des calculs urinaires douloureux et dangereux. Elles peuvent également provoquer des fourbures. Les céréales ne devraient être proposées qu’aux chèvres qui ont besoin d’une supplémentation en raison d’une perte de poids ou d’une maladie, et sur recommandation d’un vétérinaire. Il existe cependant d’autres solutions pour compléter l’alimentation d’une chèvre sans les risques liés aux céréales et aux concentrés; des options plus saines comprennent des bouchons de foin de fléole humidifiés ou un mélange de fléole humidifiée et de pulpe de betterave. Si vous donnez des céréales à vos chèvres, demandez à votre vétérinaire si vous pouvez également leur donner du chlorure d’ammonium pour empêcher la formation de struvites.

    Les dangers liés aux ballonnements. Les chèvres ne doivent pas brouter du trèfle ou de la luzerne humide ou mouillés par la pluie ou la rosée, ni avoir un accès illimité aux céréales, ni avoir un accès libre à un tout nouveau pâturage dont la végétation n’est pas connue. De telles situations peuvent entraîner des ballonnements ou une acidose ruminale, qui sont des urgences sanitaires graves. Pour éviter les ballonnements lors de l’introduction dans un nouveau pâturage, laissez brouter vos chèvres quelques minutes par jour seulement au début et ce pendant quelques semaines, puis laissez-les brouter plus longtemps si elles semblent en bonne santé.

    L’eau 

    Comme tous les autres pensionnaires du sanctuaire, les chèvres ont besoin d’une source d’eau propre et en accès libre. La quantité d’eau consommée au cours d’une journée varie en fonction de leur taille, de la température extérieure et de la teneur en eau de leur nourriture. En général, une chèvre non allaitante boit de 4 à 7 litres d’eau par jour. La consommation d’eau augmente avec la hausse des températures, et les chèvres qui mangent du foin boivent plus d’eau que celles qui mangent de l’herbe et d’autres végétaux, en raison de la teneur en eau beaucoup plus faible du foin. Les femelles gestantes ou allaitantes auront besoin de plus d’eau que les autres, en moyenne entre 7,5 et 15 litres par jour. Les systèmes d’abreuvoir automatiques avec thermostat de chauffage sont une bonne option pour réduire le gaspillage et éviter le gel en hiver.

    Minéraux et compléments

    Les chèvres doivent toujours avoir accès à une source de minéraux spécialement formulée pour elles, soit en vrac, soit sous forme de blocs. Ces minéraux contribuent à fournir aux chèvres des nutriments essentiels comme le calcium, le chlore, le sodium, le phosphore, le magnésium, le soufre, le potassium, les vitamines A, D et E, ainsi que des oligo-éléments comme le cuivre, le cobalt, l’iode, le fer, le manganèse, le molybdène, le sélénium et le zinc.

    En règle générale, le rapport calcium/phosphore doit être de 2 pour 1 afin de prévenir les calculs urinaires.

    Au sujet du cuivre – Pas de partage avec les moutons! Si vous vous occupez à la fois de chèvres et de moutons, il est essentiel de ne pas donner aux moutons des minéraux formulés pour les chèvres. Les moutons sont très sensibles au cuivre et peuvent facilement s’intoxiquer. À l’inverse, les chèvres peuvent consommer en toute sécurité des minéraux formulés pour les moutons. Si vous choisissez de nourrir les deux espèces ensemble, vous devrez peut-être fournir aux chèvres une supplémentation en cuivre, par exemple au moyen de bolus de fil de cuivre administrés sous la supervision d’un vétérinaire. Une carence en cuivre chez la chèvre peut entraîner de l’anémie, un pelage terne, des maladies osseuses, de la diarrhée et une sensibilité accrue aux parasites.

    Cependant même avec un régime alimentaire approprié et une supplémentation en minéraux, des carences sont toujours possibles. Consultez votre vétérinaire en cas de doute. Dans certains cas, de simples analyses de sang permettent de dépister les carences, mais pour certains nutriments, le diagnostic est plus complexe.  Si vous avez des doutes sur la qualité du foin que vous leur fournissez, vous pouvez le faire analyser sur le plan nutritionnel.

    Vous pouvez donner de temps en temps à vos chèvres des graines de tournesol noires pour augmenter naturellement l’ apport en vitamine E et autres oligo-éléments, ce qui peut être bénéfique pour leur santé en générale et leur pelage.

    Si les chèvres dont vous vous occupez ont souffert de ballonnement par le passé, votre vétérinaire peut vous recommander de leur donner un peu de bicarbonate de soude en plus de leur mélange de minéraux, mais sachez qu’une trop grande quantité peut provoquer des calculs urinaires; évaluez les risques pour chacune de vos pensionnaires.

    Si vous changez le mélange minéral proposé à vos chèvres, assurez-vous que celles-ci en consomment la quantité nécessaire (certains minéraux étant plus ou moins appétissants que d’autres) et surveillez tout signe de déséquilibre nutritionnel potentiel.

    La plupart des chèvres en bonne santé tireront partie des protéines contenues dans les broussailles ou le foin de qualité qui leur sera servi, mais celles qui sont en croissance ou en lactation ont des besoins en protéines plus élevés et il peut être nécessaire de les supplémenter. Les chèvres malades, en particulier celles qui ont des parasites internes, peuvent également avoir besoin de protéines supplémentaires. Si une supplémentation en protéines est nécessaire, demandez conseil à votre vétérinaire. Il existe des formules minérales qui contiennent des protéines ajoutées, ou il pourra vous être recommandé d’administrer une farine d’oléagineux ou une autre source de protéines. Il est important de répondre aux besoins en protéines de vos pensionnaires sans les dépasser de beaucoup, car un excès de protéines peut contribuer à certains problèmes de santé tels que la mammite. La plupart des chèvres qui ne sont pas en croissance ou en lactation ont besoin d’environ 7 à 8 % de protéines.

    Les friandises pour les chèvres

    Il ne faut pas donner trop de friandises aux chèvres, car elles peuvent prendre du poids ou développer des calculs urinaires. Cependant, une friandise de temps à autre peut contribuer à rendre les chèvres heureuses (ou à les inciter à revenir vers vous si elles se sont échappées!). Les friandises que vous pouvez donner sans crainte comprennent des légumes et un nombre très limité de fruits tels que :

    • Banane
    • Carotte
    • Céleri
    • Raisin
    • Laitue
    • Poire
    • Potiron
    • Courge
    • Graines de tournesol
    • Pastèque
    • Pomme

    Assurez-vous d’abord de les avoir coupés en morceaux adaptés à la morphologie des chèvres.

    Aliments à proscrire

    Un certain nombre d’aliments contiennent des toxines ou des substances que les chèvres ne peuvent pas digérer ou tolérer. Retrouvez-les en cliquant ici.

    Recommandations pour les chèvres âgées

    Si certaines chèvres âgées peuvent continuer à s’épanouir avec un régime alimentaire de base composé de végétation fraîche ou sèche, d’autres peuvent avoir besoin de certaines modifications ou de suppléments. Il n’est pas rare que les chèvres âgées perdent du poids, ce qui peut être dû à divers problèmes tels qu’une maladie dentaire, un problème de santé sous-jacent (comme le virus de l’arthrite encéphalite caprine CAEV) ou le fait qu’elles mangent moins en raison de facteurs environnementaux ou d’une dynamique de groupe. Vous devez suivre attentivement l’évolution du poids de vos chèvres séniors afin de détecter une perte de poids le plus tôt possible. Il est important d’identifier la cause de cette perte de poids, de prendre des mesures pour résoudre le problème et de modifier le régime alimentaire, les conditions de vie et/ou l’environnement en fonction des besoins de l’animal. Dans certains cas, il peut s’avérer nécessaire d’isoler l’individu une ou plusieurs fois par jour afin de lui administrer des compléments alimentaires et s’assurer qu’il reçoit tous les nutriments dont il a besoin. Pour en savoir plus sur les recommandations en matière de régime alimentaire pour les chèvres âgées, ainsi que sur d’autres considérations relatives aux soins, c’est ici!

    SOURCES (en anglais):

    Soins aux chèvres | Farm Sanctuary

    Les pâturages pour les chèvres| Goats Extension

    La carence en cuivre chez les caprins | Merck Veterinary Manual

    Plantes et aliments toxiques pour les chèvres | The Open Sanctuary Project

    Plantes toxiques pour les caprins communs | Cornell University

    Médecine du mouton et de la chèvre, 2e édition (Source non compassionnelle)

    Introduction à l’alimentation des petits ruminants | Maryland Small Ruminant Page (Source non compassionnelle)

    Besoins en foin hivernal du bétail | OSU Sheep Team (Source non compassionnelle)

    What Do Goats Eat | Weed Em And Reap (Source non compassionnelle)

    Le nourrissage des chèvres | Morning Chores (Source non compassionnelle)

    Comment protéger vos chèvres des plantes toxiques | Dummies (Source non compassionnelle)

    Que donner à manger aux chèvres | Dummies (Source non compassionnelle)

    Lutter contre les parasites grâce aux pâturages | Dr. Niki Whitley (Source non compassionnelle)

    Médecine interne des grands animaux, 5e édition | Bradford P. Smith  (Source non compassionnelle)

    Quelles friandises donner aux chèvres? | Moms (Source non compassionnelle)

    Qu’est-ce qu’une source non compassionnelle?
    Si une source inclut la mention (Source non compassionnelle), cela signifie que nous n’approuvons pas les opinions de cette source sur les animaux, même si certaines de leurs idées sont précieuses du point de vue des soins. Cliquer ici pour une explication plus détaillée.

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